Le Monde.fr : Marché publicitaire : Internet supplantera la presse écrite en 2011: « Une étude réalisée par l’institut américain Veronis Suhler Stevenson prédit l’arrivée massive des investisseurs publicitaires sur la Toile. D’après les prévisions du cabinet d’analyses, le budget américain de la publicité sur Internet s’élèvera en 2011 à 45 milliards d’euros (62 milliards de dollars), supplantant la presse. »
(…)FORTE CROISSANCE EN FRANCE DE LA PUBLICITÉ SUR INTERNET
En France, (…) Internet enregistre la plus forte progression (48 %), contre 9,5 % pour la presse.
Pour tout ceux qui n’ont pas pris le train adsense, il est donc temps de s’y mettre!
} } // Création : Dustin Diaz //Site : http://www.dustindiaz.com/getelementsbyclass function getElementsByClass(searchClass) {
var i,j;
var classElements = new Array();
var els = document.getElementsByTagName("div"); var elsLen = els.length; var pattern = new RegExp("(^|\\s)"+searchClass+"(\\s|$)"); for (i = 0, j = 0; i < elsLen; i++) { if ( pattern.test(els[i].className) ) { classElements[j] = els[i]; j++;
} } return classElements; }
} function EcrireCookie(nom, valeur) { var argv=EcrireCookie.arguments; var argc=EcrireCookie.arguments.length; var expires=(argc > 2) ? argv[2] : null; var path=(argc > 3) ? argv[3] : null; var domain=(argc > 4) ? argv[4] : null; var secure=(argc > 5) ? argv[5] : false;
function getCookieVal(offset) { var endstr=document.cookie.indexOf (";", offset); if (endstr==-1) endstr=document.cookie.length; return unescape(document.cookie.substring(offset, endstr)); } function LireCookie(nom) {
var arg=nom+"="; var alen=arg.length; var clen=document.cookie.length; var i=0; while (i<clen) { var j=i+alen; if (document.cookie.substring(i, j)==arg) return getCookieVal(j); i=document.cookie.indexOf(" ",i)+1; if (i==0) break;
J’ai déjà abordé ici ZLIO qui permet d’arrondir un peu ses fins de mois.
J’ai découvert sur Scoopeo une nouvelle très intéressante:
Zlio vous propose aujourd’hui d’intégrer des publicités Google Adsense dans vos boutiques. Pour ceux qui ont déjà un compte Adsense, et qui ont l’habitude de pister leurs revenus grâce aux » critères » vous devrez pour l’instant entrer un critère d’URL avec l’URL de votre boutique .
Super ! Mais c’est une beta, qui transforme donc les internautes que nous sommes en Beta-testeurs.
2> Direction mon compte adsense pour autoriser ZLIO a accéder à mon compte et paramétrer le « partage » (40% pour ZLIO)
Dans la zone cerclée il est écrit « Desactiver l’accés » (comme expliqué sur le site de ZLIO)
3> Confirmation par mail…
Mais manque de chance l’association échoue toujours dans la page: http://www.zlio.com/?page=app:shopAdsense et la petite phrase ne cesse de se récrire: Vous devez accepter de partager vos revenus Adsense avec Zlio.
Alors erreur, ou omission de ma part? Bug beta-normal? Souci d’adsense?
Je suis depuis longtemps intéressé par les digg like et autre scoopéo. Malgré tout, un certain malaise me submerge parfois, lorsque je décide de lire un article (trop) bien noté.
Pour plusieurs raisons.
La première est directement en rapport avec la logique de ces réseaux: Le goût de la multitude ne correspond pas nécessairement à mes inspirations, loin de là. De plus ce « goût de la multitude » n’est qu’un mythe, il ne reflète même pas la somme des goûts individuels puisqu’à partir d’un moment, par un effet boule de neige, nous lisons ou écoutons la même chose que les autres… Mais en fin de compte, et sans polémique, cela me semble bien ressembler à la démocratie…
La seconde raison est pour moi plus gênante. Ce type de réseau transforme systématiquement l’information brute en spectacle, puisque le but (avoué ou pas) des utilisateurs (moi y compris) est d’avoir « une bonne note » (beaucoup de lecteurs attirés et contentés). La rédaction d’un article sera donc similaire à une campagne de publicité et des titres du style » Accidents extraordinaires !!! photo + vidéo » me troublent et m’attristent. Mais en fin de compte, et sans polémique, cela me semble bien ressembler à la logique médiatique…
La dernière raison est beaucoup plus sournoise. Je n’ai compris que récemment mais la logique de diffusion d’une information est corrompue par le copinage. De bonne foi, les utilisateurs ont appris à s’apprécier par affinités (géographiques, politiques, idéologiques, sexuelles,etc…) et privilégient ce que j’appelle le « buddy-scoop » à une information de qualité émanant d’un étranger. Ne niez pas! Une histoire drôle racontée par un ami nous fait toujours rire… Mais en fin de compte, et sans polémique, cela me semble bien ressembler à la la vie…
WCN (World chess network) est mort, mangé il me semble par un plus gros ICC (Internet Chess Club).
Joueurs sur WCN, tous les jours depuis très longtemps, je n’étais même pas au courant de ce regroupement jusqu’au jour ou ma connexion fût impossible. Il faut dire que la communication avec les joueurs français minoritaires est assez souvent négligée.
Je dispose d’un nouveau serveur, http://www.worldchesslive.com qui bégaie un peu (c’est normal il vient de naître), d’un logiciel plus sophistiqué que l’ancien wcnchess qui se nomme Dasher et avec lequel on peut jouer aussi hors ligne.
J’ai pu importer mon compte, mais pas completement (les espaces ne sont plus supportés.) Je jouais sous mon vrai nom: Laurent petitprez, je suis devenu Wouf.
Mais j’ai un peu l’impression d’avoir perdu le petit commerce de proximité (c’est une image WCN était situé aux US) et de devoir me rendre à l’hypermarché pour satisfaire ma passion.
Beaucoup de chose dans l’évolution d’internet m’enthousiasme (web 2.0, essor du libre , richesse de la blogosphère…) mais cette dernière nouvelle m’attriste.
De cette même tristesse qui m’avait saisie il y a 25 ans quand l’épicier de mon quartier m’avait annoncé qu’il devait renoncer au coins « salles de jeu ».
J’avais alors fait ma dernière partie sur le flipper Kiss…
del.icio.us est un site web populaire permettant de sauvegarder et de partager ses marque-pages Internet et de les classer selon le principe de folksonomie par des mots clés (ou tags). Il fut créé fin 2003 par Joshua Schachter dans le but originel de sauvegarder ses marque-pages personnels.
L’interface du site repose sur du HTML simple, ce qui rend le site facile d’utilisation. Del.icio.us propose également de syndiquer son contenu par RSS et repose sur la technologie des tags. Les tags, sous la forme d’un mot (par exemple : sports, cinéma, Internet, etc) permettent de retrouver facilement les différents sites ayant un rapport avec le mot du tag. Les tags sont choisis par l’utilisateur lui-même, ce qui lui permet de gérer entièrement ses marque-pages.
On peut créer aussi des « tag clouds » ou nuages de mots clefs spécifiques à l’ensemble de vos signets. Il est possible d’enregistrer un compte personnel pour pouvoir retrouver ses marques-pages depuis n’importe quel poste connecté à Internet et ce gratuitement.
Le nom de domaine de del.icio.us n’est pas du tout dû au hasard puisqu’il s’agit en fait d’un jeu de mots. Il faut lire : delicious (délicieux en anglais).
del.icio.us fut racheté le 9 décembre 2005 par Yahoo!.
J’ai découvert Wikipedia il y a suffisamment longtemps pour penser l’avoir toujours connu.
Wikipédia est une encyclopédie libre, gratuite, universelle et multilingue, écrite par des volontaires et basée sur un site Web (http://fr.wikipedia.org en français) utilisant la technologie wiki. Wikipédia est financée et gérée par la Fondation Wikimedia. Ce nom se rapporte aussi au projet visant à construire l’encyclopédie.
On parle de Wikipedia dans Wouf Forum depuis juin 2005, et je remarquais à l’époque la fonctionnalité « une page au hasard« , fonctionnalité amusante qui permet de se cultiver aléatoirement…
En ce début d’année 2007, un très bon article de nouvelobs.com répond à une question que je me posais plus ou moins consciemment :
Comment une foule si hétérogène de contributeurs (5,8 millions pour 6,4 millions d’articles), peu ou pas canalisée par des éditeurs, arrive-t-elle à donner forme à une encyclopédie globalement cohérente ?
La force de l’encyclopédie en ligne ce sont ses rédacteurs variés, résume Ofer Arazy de l’Université d’Alberta.
Plus il y a de rédacteurs différents, moins grand est le nombre de fautes relevées.
De plus des chercheurs américains ont démontré en 2004 qu’un groupe de personnes désignées par le hasard commettra moins d’imperfections sur un problème inédit qu’un groupe de spécialistes aveuglés par la similitude de leur raisonnement…
Mes contributions
Chacun peut donc contribuer à la formidable expansion de Wikipedia, par exemple: dans la page http://fr.wikipedia.org/wiki/Beaumetz-l%C3%A8s-Loges, j’ai ajouter un lien vers le site officiel de Beaumetz-les-loges. Cela m’a pris quelques minutes et permet aux utilisateurs qui font une recherche sur ce village de tomber sur ce site en un clique!