1° Sorte de drap à chaîne de 1600 fils. Les draps du sceau de Rouen, Darnetal, Dieppe, les seizains de Sastes, Réglem. sur les manuf. août 1669, art. 2.
2° Anciennement, un quart d’écu.
3° Pièce de seize vers.
ÉTYMOLOGIE
Seize.
Remarques
Non seulement ce mot est accepté par l’ODS 7 mais il dispose de 3 anagrammes :
Sac de laine dans lequel on met les pains d’acide gras pour les soumettre à la presse hydraulique. ♦ Lorsqu’au bout de cinq à six heures la presse verticale a épuisé son action, les malfils sont vidés et les pains sont mis dans des sacs en crin appelés étreindelles, et soumis au pressage à chaud, P. POIRÉ, Notions de chimie.
Terme de zoologie. Grand oiseau noir de l’ordre des échassiers qui habite dans les marécages de la Guyane et du Brésil ; deux espèces : le kamichi cornu, et le kamichi fidèle qui garde les volailles comme un chien de berger (genre palamedea, L.).
Sorte de plaqué, ainsi dit de Ruolz inventeur. ♦ La dorure et l’argenture, ce qu’on appelle le ruolz, c’est tout simplement du laiton, du bronze fondu que l’on dore ou que l’on argente par précipité dans le bain, Enquête, Traité de comm. avec l’Anglet. t. II, p. 330
Fig. C’est du ruolz, se dit d’un objet qui n’a que l’apparence, d’un homme dont le mérite n’a que du clinquant.
♦ En plusieurs provinces, petite mare formée par le liquide écoulé du fumier, Gloss. aunisien, p. 138, et DELBOULLE, Gloss. de la vallée d’Yères, p. 270
Dans d’autres parties de la Normandie, on dit putel.
ÉTYMOLOGIE
Autre forme de l’anc. franç. putel, fumier, bourbe, du lat. putere, puer.
Attention : ce mot n’est pas reconnu par l’ODS7
TOP mots trouvés : peut (6 points) pute (6 points) peu (5 points)
Le Dictionnaire de la langue française, plus connu comme le Littré, du nom de son principal auteur Émile Littré, est comme son nom l’indique un dictionnaire de langue française.
Il est publié par Hachette entre 1863 et 1872 pour la première édition ; et entre 1872 et 1877 pour la seconde édition en cinq tomes dont un supplément suivi d’un dictionnaire étymologique de tous les mots d’origine orientale (arabe, hébreu, persan, turc, malais), par Marcel Devic.
Il n’a pas été mis à jour depuis et reflète donc un état de la langue française classique et du bon usage littéraire entre le XVIIe et le XIXe siècle.
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ABONNIR[a-bo-nir]
1° V. a. Rendre bon. Les caves fraîches abonnissent le vin.
2° V. n. Devenir bon. Le vin abonnit dans la cave. Cet homme n’abonnit pas en vieillissant.
3° S’abonnir, v. réfl. Devenir bon. Le vin s’abonnit dans la cave.
4° Poterie. Faire sécher la terre à demi, la mettre en état d’être rebattue.
HISTORIQUE
XIIe s. ♦ …. à ce soufrir Ne se vourrent [voulurent] plus aboenir, Rom. de S. Graai, 2377