L’image « elle chante » ou « pont musical » de wouf est disponible sur Fotolia sous une licence libre de droits à partir de 1 crédit (crédit à partir de 0,74 €).
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C’est un hommage réussi, filmé et édité par Guy Dayan
J’ai découvert cette merveille grâce à un twitt éclairé de VincentDidier que je remercie ici publiquement pour ses twitts de qualité.
(twitter ??? c’est quoi ?)
Moi je traîne dans le désert depuis plus de 28 jours
Et déjà quelque mirages me disent de faire demi-tour
La fée des neiges me suit tapant sur son tambour
Les fantômes du syndicat des marchands de certitudes
Se sont glissés jusqu’à ma lune, reprochant mon attitude
C’est pas très populaire le goût d’la solitude.
[Refrain]
Quand t’es dans le désert depuis trop longtemps
Tu t’demandes à qui ça sert toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu’on veut te faire jouer
Les yeux bandés.
Tous les rapaces du pouvoir menés par un gros clown sinistre
Plongent vers moi sur la musique d’un piètre accordéoniste,
Je crois pas qu’ils viennent me parler des joies de la vie d’artiste
De l’autre coté ,voilà Caïn toujours aussi lunatique
Son œil est rempli de sable et sa bouche pleine de verdicts
Il trône dans un cimetière de vielles pelles mécaniques.
[Refrain]
Quand t’es dans le désert depuis trop longtemps
Tu t’demandes à qui ça sert toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu’on veut te faire jouer
Les yeux bandés.
Les gens disent que les poètes finissent tous trafiquants d’armes
On est 50 millions de poètes, c’est ça qui doit faire notre charme
Sur une lune de Saturne mon perroquet sonne l’alarme
C’est drôle mais tout le monde s’en fout
Vendredi tombant nul part, y a Robinson solitaire
Qui m’a dit : » j’trouve plus mon île, vous n’auriez pas vu la mer »
Va falloir que j’lui parle du thermonucléaire.
[Refrain]
Quand t’es dans le désert depuis trop longtemps
Tu t’demandes à qui ça sert toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu’on veut te faire jouer
Les yeux bandés.
Hier un homme est venu vers moi d’une démarche un peu traînante
Quand je lui ai demandé: « t’as tenu combien de jours », il a répondu : « bientôt 30 »
Je me souviens qu’il espérait tenir jusqu’à 40
Quand j’lui ai demandé son message, il m’a dit d’un air tranquille :
Les politiciens finiront tous au font d’un asile
J’ai compris que je pourrais bientôt regagner la ville.
[Refrain]
Quand t’es dans le désert depuis trop longtemps
Tu t’demandes à qui ça sert toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu’on veut te faire jouer
Les yeux bandés.
Séquence nostalgie, comme ils disent dans le blaupunkt de ma vieille Porsche de 88. En fait c’est pas un blaupunkt mais j’aime la sonorité de cette marque. De toute façon je n’ai pas de Porsche non plus, c’est une vieille BMW.
Elle avait des airs de petites filles…
Et tu cherches à comprendre, ça sert à rien tu perds ton temps. Elle était belle et tendre, tu l’aimais dans son pull-over blanc…
La chanteuse s’appelait Graziella De Michele. On devait le clip à Cyril Collard. C’était en 1986, je venais de décrocher mon bac…
Pour terminer sur une note culturelle, ce texte de Cyril Collard : (Quatrième de couverture de L’Ange sauvage)
Et puis moi. L’ange sauvage, Serrant le corps d’une gazelle brûlante, J’attends de la colère des Dieux Ou de la beauté des diables Qu’elles envahissent mon monde mourant, Qu’elles extirpent la pourriture Des pores de ma peau sirupeuse Et la jettent en pâture Aux chiens du port, Leur poil comme un duvet de misère Caressé par les mains rugueuses Des marins pressés par le temps. Et moi l’ange sauvage Je m’avance dans la fumée d’un quai désert, Je découvre des carcasses de métal Et des manèges abandonnés, Pont d’un cargo, Grand nord, mers de glace L’ange sauvage devient ange déchu et termine simple mortel au coin d’un bar.
Serrant le corps d’une gazelle brûlante, J’attends de la colère des Dieux Ou de la beauté des diables Qu’elles envahissent mon monde mourant, Qu’elles extirpent la pourriture Des pores de ma peau sirupeuse Et la jettent en pâture Aux chiens du port, Leur poil comme un duvet de misère Caressé par les mains rugueuses Des marins pressés par le temps. Et moi l’ange sauvage Je m’avance dans la fumée d’un quai désert, Je découvre des carcasses de métal Et des manèges abandonnés, Pont d’un cargo, Grand nord, mers de glace L’ange sauvage devient ange déchu et termine simple mortel au coin d’un bar.
Noëlle Cordier ! Oui, bonne réponse ! Vous avez gagné le droit de visionner ce clip vidéo de 1975 :
Hier, j’avais pondu un article sur le rappeur Kery James, un peu à contre-cœur (mais c’était un article sponsorisé, et j’ai des charges – 😉 ). Je suis content aujourd’hui de revenir sans concession aucune à quelque chose qui me plait beaucoup.
Mais qui est cet homme à qui je rends hommage aujourd’hui ?
Wouter Otto Levenbach, né le 4 mai 1944 à Amsterdam. est le vrai nom d’un chanteur néerlandais populaire en France, francophone et quasiment inconnu aux Pays-Bas. Il s’agit de Dave.
Depuis la fin des années 60, avec un petit passage à vide dans les 80’s ce chanteur est resté dans nos coeurs, et on sait pourquoi : Rarement talent, gentillesse, humour et simplicité ne cohabitent avec tant de grâce dans un seul homme !