L’augmentation des températures pourrait modifier le goût de la bière, car le climat influence la composition de l’orge, la céréale utilisée pour fabriquer le breuvage. C’est pourquoi des chercheurs tentent de sélectionner des souches végétales résistantes à la sécheresse.
Étiquette : Science
Ne t’inquiète pas si tu as des difficultés en maths, je peux t’assurer que les miennes sont bien plus importantes !
Citation 17 : Les Echecs. Le seul d’entre tous les jeux qui échappe à la tyrannie du hasard.
Surveiller les océans, avec une méduse robotisée
Des universités américaines ont coopéré pour créer un bien étrange jouet.
Il s’agit d’une méduse robotisée qui pourrait à l’avenir servir à la surveillance des fonds marins :
Gagner à Pierre-papier ciseaux dans 100% des cas ?
Gagner à Pierre-papier ciseaux dans 100% des cas, c’est de la science-fiction ? Oui.La preuve c’est à la portée du moindre robot :
Un robot imbattable au jeu Pierre-Feuille-Ciseaux par Techno-Science
Très sérieusement, les chercheurs souhaitaient démontrer qu’une machine peut s’adapter aux gestes de l’homme en un temps record. C’est fait et les futures implications risquent d’être rapidement sur le marché. Mais pas si rapidement que la prise de décision de ce robot…
Les neutrinos vont-ils plus vite que la lumière ?
Il n’y a pas très longtemps (2011) des chercheurs du CNRS avaient montré que des particules étaient capables de voyager plus vite que la lumière.
Le chercheur physicien, est un homme sérieux, normalement. La présence dans le mot démonstration de l’acte de montrer évoque l’exposition au regard d’un public de la vérité d’une assertion, d’un raisonnement. L’objectif d’une telle « monstration » est de rendre indubitable la conclusion mise à l’épreuve. Il faut distinguer la démonstration de la preuve en ce sens que cette seconde est souvent mise en œuvre pour mettre fin à un doute et que d’autre part, elle peut faire appel, non seulement à des déductions, mais également à des inductions qui y introduisent une certaine incertitude, un degré de probabilité…
Aujourd’hui à Kyoto, à l’occasion de la 25e Conférence internationale sur la physique du neutrino et l’astrophysique, on vient d’annoncer avoir mesuré de manière cohérente une vitesse des neutrinos compatible avec celle de la lumière. Il s’agissait d’un problème de branchement défectueux d’un câble…
Certains physiciens, sérieux, concluront que non, les neutrinos ne vont pas plus vite que la lumière…
Pour ma part je considère que cette assertion est vraie, à plus de 99 contre 1. Mais je ne suis sûr que d’une chose : le doute est raisonnable.
SOURCES :
Un document pédagogique sur la germination des graines. Niveau CE2
photo credit: Jeff Cushner
Pré requis à construire : Observation de la germination et de la croissance chez les végétaux.
je viens de mettre en ligne un résumé de ce qu’il est bon de savoir sur la germination des graines, à l’école primaire:
Prise de decision, la langouste peut vous aider
La prise de décision est un processus cognitif complexe visant à la sélection d’un type d’action parmi différentes alternatives. (cf wikipedia)
Les méthodes de prises de décisions sont répertoriées :
- Ne pas se décider ou agir
- Procéder en analysant (ex: catégorie:Logique)
- Associer des idées entre elles (ex: Carte heuristique)
- S’en remettre à son sentiment (ex: affectivité)
- Demander conseil (à une personne ou à un groupe) et aviser (ex: conciliation ou brainstorming)
- Se faire accompagner dans son processus de réflexion pour décider (ex: médiation)
- Se conformer aux autres (ex : arbitrage ou jury)
- Négocier
- Rechercher le consensus, faire des compromis
- S’en remettre au hasard (Imposer l’arbitraire)
La prise de décision est un phénomène que l’on croit personnel, un choix qui serait différent pour quelqu’un d’autre. Pourtant, le système nerveux des animaux (et de l’homme) s’est adapté afin de faire les meilleurs choix possibles et de préserver la survie de l’espèce, notamment dans des situations périlleuses. Certains choix, comme partir en courant devant un danger ou plutôt faire le mort, sont donc en réalité dictés par des impulsions électriques nerveuses…
Pour comprendre comment notre cerveau réagit en fonction de l’environnement des chercheurs utilisent la langouste.
Les études sur le cerveau humain sont pour le moins difficiles à réaliser… L’utilisation d’invertébrés comme modèle d’étude du système nerveux ne date pas d’hier et les différentes recherches ont montré par le passé que ce modèle simplifié peut souvent être transposé à l’homme. C’est sur ce constat qu’une équipe de recherche menée par le psychologue Jens Herberholz s’est penchée sur la langouste pour décortiquer le mécanisme neuronal de la prise de décision.
Si vous pensiez en lisant mon humble contribution que je puisse vous aider d’une quelconque façon dans une prise de décision, je comprends aisément votre déception, mais je vous souhaite de trouver en vous les ressources pour faire votre choix.
LIENS EXTERNES:
Je m’éclate comme une bulle !
Qu’elle soit de savons, ou même d’eau une simple bulle est cause d’émerveillement.
Jusqu’à ce qu’elle éclate…
Mais comment éclate une bulle ? Que devient-elle ? Se dirige-t-elle vers le paradis des bulles ?
Et bien non, quand une bulle éclate, elle ne disparaît pas simplement mais se divise en un anneau constitué de bulles plus petites, entraînant une cascade d’éclatements de bulles. Ce phénomène universel vient d’être découvert et modélisé par des physiciens du CNRS de l’Institut de physique de Rennes (CNRS/Université Rennes 1) et des Universités de Harvard et de Princeton aux Etats-Unis. Ces travaux publiés dans la revue Nature, pourraient trouver des applications en industrie et en océanographie.
LIEN EXTERNE :
Sciences : théorie de la nucléation | Découverte
Imaginez un très petit objet dur, formé d’une centaine de molécules. Lancez sur cet objet un atome de la même matière, l’atome va rebondir sur l’objet.
Renouvelons l’expérience, avec un objet « mou » cette fois. On imagine alors l’intégration de l’atome à l’agrégat…
Même si tout ceci parait à la fois limpide et incontestable, tout n’est pas si simple.
Lorsqu’un humain plonge dans l’eau, la « dureté » de l’eau est fonction de la hauteur du plongeon, donc de la vitesse de l’impact. Au dessus d’une certaine vitesse, les effets sont les mêmes que si le plongeur percutait un mur de béton.
Des chercheurs du Laboratoire collisions agrégats réactivité (LCAR, CNRS/Université Toulouse 3) ont réalisé une expérience qui montre comment le collage d’une molécule d’eau sur un agrégat d’eau (petites gouttelettes composées d’une dizaine à quelques centaines d’atomes) dépend de la vitesse d’impact. Selon qu’elle soit lente ou rapide, l’agrégat se comporte comme un objet « mou» ou «dur», favorisant ou défavorisant respectivement le collage de la molécule sur l’agrégat. (Sources : CNRS )
Au delà des imbrications scientifiques comme l’étude de la formation des nuages, ce nouveau pas dans l’étude de la formation des agrégats pourrait aussi avoir des implications sociologiques, ou politiques : Pour s’intégrer dans un groupe, dans une communauté ou dans un réseau social, et afin de ne pas « rebondir », il serait nécessaire de le faire sans être trop énergique (ou énergétique).
Mais la sagesse populaire le sait depuis longtemps : Arriver comme un chien dans un jeu de quilles n’est pas la solution pour être bien reçu.